
Deep Work : la stratégie des entrepreneurs à succès
Tu te demandes ce qu’est le deep work ? Tu aimerais adopter cette méthode de travail pour gagner en efficacité, mais tu ne sais pas comment l’intégrer dans ton planning ? 🤓
Si tu nous suis sur Instagram ou que tu lis notre newsletter hebdo (si tu n’es pas encore inscrite, hop tu peux t’abonner à la newsletter backstages ici), alors tu as certainement déjà entendu parler de nos sessions deep work dans nos plannings respectifs. C’est une méthode de travail focus que nous expérimentons déjà depuis un moment avec Julie, et qui fait ses preuves. Elle nous permet d’alterner sessions de travail intenses et blocs de temps plus souples pour les tâches mineures. Pour nous, c’est une manière efficace de produire tout ce qui est au programme. Et au final, d’être suffisamment efficaces pour atteindre tous nos objectifs 🎯
Aujourd’hui, je te propose donc de te présenter les bénéfices du Deep Work dans ton quotidien de freelance. Ça va te plaire si tu as du mal à trouver un level de concentration optimal pour réaliser toutes tes tâches. Il s’agit ici d’une méthode de focus profond pour arriver au bout des tâches les plus complexes, mais aussi gagner du temps ! ⬇️
- C’est quoi le deep work ?
- Quelle est la différence entre low et deep work ?
- Pourquoi pratiquer le deep work ?
- Les erreurs à éviter qui sabotent le deep work
- Comment intégrer le deep work dans ton planning ?
- Outils et ressources pour faciliter le deep work
- Et si tu intégrais le deep work dans ton quotidien d’entrepreneur ?
Qu’est-ce que le Deep Work ?
Le Deep Work est un peu la réponse à toutes les distractions de notre quotidien. En tant qu’entrepreneur.e, je pense bien sûr à la boîte mails, aux notifications, appels clients, idées imprévues… Bref, toutes ces petites choses qui t’empêchent d’être pleinement focus sur ton travail. Au-delà de te distraire, ce sont surtout des choses qui te donnent le sentiment d’être surchargé.e. Du coup, c’est aussi la pression et le stress qui empêchent ton cerveau d’exploiter pleinement son potentiel 🧠.
Le Deep Work est donc une capacité à développer pour accomplir un travail de qualité, en mode ultra-focus. C’est un super pouvoir de concentration pour atteindre ses objectifs dans les temps. Et on le sait, le temps est souvent l’ennemi n°1 dans l’entrepreneuriat. Le Deep Work est donc à associer à une bonne organisation de travail pour ne plus lui courir après ⚡️.
Quelle est la différence entre low et deep work ?
Pour bien comprendre comment ça fonctionne, il faut différencier deux types de tâches.
Le travail low (ou shallow)
Ce sont toutes les « petites » tâches qui ne nécessitent pas 100% de tes compétences. En tant que freelance, c’est tout ce qui est lié à la gestion (des emails, des commentaires & co compris), la logistique, l’administratif voire la facturation. Même si, on est bien d’accord, ce dernier point mérite toute ton attention 😅.
Je prends ces exemples pour que tu comprennes bien que ces tâches-là ne créent pas beaucoup de valeur dans ton quotidien. Ce sont des tâches pas forcément fun certes, mais surtout faciles à effectuer. Et elles mobilisent généralement beaucoup moins de temps que la seconde catégorie de tâches ⤵️
Le Deep Work
À l’opposé, cette méthode de travail est réservée aux tâches les plus complexes. Celles qui nécessitent le plus de RAM, de compétences, de réflexion, de concentration, etc. Ce sont généralement les tâches qui se situent dans ta zone de génie, que ce soit pour toi-même ou tes clients en freelance.
Lors de sessions de Deep Work, tes efforts sont entièrement tournés vers la tâche en cours, ce qui crée de la valeur et améliore tes compétences 🧐
Il s’agit donc de trier tes tâches pas uniquement par ordre de priorité, mais aussi par niveau de difficulté / valeur ajoutée / concentration requise. Alterner travail low et Deep Work t’aidera à mieux utiliser ton temps et ton cerveau ✌🏻
Pourquoi pratiquer le deep work ?
1. Décupler ses capacités de concentration
La pratique régulière du deep work, c’est comme un entraînement pour ton cerveau. Plus tu t’exerces à ces sessions de concentration intense, plus ta capacité à rester focus s’améliore 💪🏻. C’est un peu comme quand tu fais du sport : au début ça fait maaaal, mais au fur et à mesure, tu deviens plus fort.e et plus endurant.e.
Avec le deep work, tu développes progressivement ce que Cal Newport (l’auteur qui a popularisé ce concept – no worries, je t’ai glissé la référence à la fin de cet article) appelle l’attention résiduelle. C’est cette capacité à plonger rapidement dans un état de concentration extrême et à y rester plus longtemps.
Imagine pouvoir travailler pendant 2, 3 voire 4 heures d’affilée sans même regarder ton téléphone ou ressentir le besoin de vérifier tes emails 🧘♀️. C’est ce super-pouvoir que te donne le deep work avec de l’entraînement !
2. Gagner en productivité (qualité VS quantité)
On a tendance à confondre « être occupé » et « être productif« . Faire plein de petites tâches donne l’impression de beaucoup travailler, mais est-ce vraiment le cas ?
Le deep work mise sur la qualité plutôt que sur la quantité 🎯.
En étant complètement immergé.e dans une tâche complexe, tu produis un travail de bien meilleure qualité que si tu la réalisais en mode « multitâche ». Ton cerveau peut exploiter toutes ses ressources cognitives pour résoudre des problèmes complexes, faire preuve de créativité ou développer des idées innovantes.
Par exemple, quand j’écris un article de blog en mode deep work, il me faut environ 2-3 heures pour le terminer. Si je l’écris en répondant aux messages et aux emails en même temps, non seulement ça me prendra toute la journée, mais la qualité sera moindre 📉. Le deep work, c’est donc aussi un gain de temps considérable !
3. Réaliser un travail d’impact et à haute valeur ajoutée
Ce qui fait la différence entre un.e freelance lambda et un.e expert.e reconnu.e, c’est souvent la capacité à produire un travail de haute valeur. Et c’est exactement ce que permet le deep work 🚀.
Quand tu te consacres pleinement à une tâche complexe, tu peux aller beaucoup plus loin dans ton expertise. Tu réfléchis plus profondément, tu explores davantage d’options, tu fais des connexions entre des idées qui semblaient auparavant déconnectées.
Le deep work te permet donc de te démarquer dans ton domaine et de créer un impact réel avec ton travail, que ce soit pour développer ton propre business ou pour tes clients 💎.
4. Générer de la fierté et booster sa motivation
Il n’y a rien de plus satisfaisant que de terminer une journée en ayant accompli quelque chose de significatif. Le deep work te procure ce sentiment d’accomplissement qui booste ta motivation et ta satisfaction professionnelle 🏆.
Contrairement aux journées passées à répondre à des emails ou à gérer des tâches administratives (nécessaires mais peu gratifiantes), les sessions de deep work te permettent de voir concrètement le fruit de ton travail. Tu termines la journée avec un sentiment de fierté et d’accomplissement qui te donne envie de recommencer le lendemain.
Cette satisfaction est d’autant plus importante quand on est entrepreneur.e, car c’est souvent ce qui nous permet de maintenir notre motivation sur le long terme, même quand on traverse des moments difficiles 🌱.
5. Réduire le stress lié à l’éparpillement
On connaît tou.te.s cette sensation désagréable d’être tiré.e dans mille directions à la fois. Cette impression de courir après le temps sans jamais avancer sur nos projets importants. C’est épuisant mentalement et émotionnellement 😓.
Le deep work t’offre un cadre structuré qui réduit considérablement ce stress. En te concentrant sur une seule tâche à la fois, tu élimines la charge cognitive liée au changement constant de contexte. Tu n’as plus cette impression d’être submergé.e par ta to-do list interminable.
En plus, le sentiment d’accomplissement dont on parlait juste avant réduit également ton niveau de stress. Tu sais que tu avances sur ce qui compte vraiment, ce qui te permet d’aborder le reste avec plus de sérénité 🙏🏻.
Les erreurs à éviter qui sabotent le deep work
1. Une to-do list en vrac
C’est l’erreur classique : avoir une longue liste de tâches sans aucune distinction entre ce qui relève du deep work et ce qui peut être traité rapidement 📝.
Résultat ? Tu finis par traiter en priorité les tâches faciles et rapides (le fameux « quick win »), et tu reportes sans cesse les tâches plus complexes qui nécessiteraient un vrai focus.
Pour éviter ce piège, restructure ta to-do list en séparant clairement les tâches « deep » des tâches « low ». Tu peux utiliser des codes couleurs, des catégories ou simplement deux listes distinctes. L’important est de visualiser immédiatement le type d’énergie dont tu auras besoin pour chaque tâche ✅.
2. L’absence de rituels de concentration
Le deep work ne se déclenche pas comme par magie. Si tu te mets devant ton ordinateur en espérant entrer spontanément dans cet état de flow, tu risques d’être déçu.e 😕.
Les grands pratiquants du deep work ont tous développé des rituels qui leur permettent d’envoyer un signal clair à leur cerveau : « c’est l’heure de se concentrer ». Ça peut être aussi simple que de préparer une tasse de thé spécifique, mettre un certain type de musique, allumer une bougie parfumée, ou s’installer à un endroit précis.
Personnellement, j’ai une playlist spéciale deep work et je m’installe toujours au même endroit, avec mon carnet de notes à côté de moi. Ces petits rituels déclenchent automatiquement mon cerveau en mode concentration 🎧.
3. Le multitâche et ses illusions
On a longtemps vanté les mérites du multitâche, mais la science est formelle : notre cerveau n’est pas conçu pour faire plusieurs choses à la fois. Ce qu’on appelle « multitâche » est en réalité un basculement rapide d’une tâche à l’autre, qui épuise nos ressources cognitives et réduit notre efficacité 🔄.
Par exemple, quand tu passes d’un email à un contenu, puis à une notification Discord, ton cerveau doit à chaque fois se reconnecter au contexte. Ce « coût de changement de contexte » peut réduire ta productivité jusqu’à 40% !
Le deep work t’invite à faire exactement l’inverse : te concentrer sur une seule chose à la fois, mais à fond. C’est ainsi que tu obtiens les meilleurs résultats, et bien plus rapidement 🎯.
4. La gestion inefficace des distractions
Dans notre monde hyperconnecté, les distractions sont partout. Et elles sont l’ennemi numéro un du deep work ⚠️. Le problème, c’est que beaucoup d’entre nous ne prennent pas de mesures radicales pour les éliminer.
Pendant tes sessions de deep work, tu dois être impitoyable avec les distractions. Ça signifie :
- Mettre ton téléphone en mode avion ou dans une autre pièce
- Fermer toutes les applications de messagerie
- Bloquer les sites web chronophages (réseaux sociaux, actualités, etc.)
- Informer ton entourage que tu n’es pas disponible pendant ce créneau
- Utiliser des applications qui bloquent les distractions (comme Freedom ou Focus)
Si tu ne mets pas en place ces barrières, ton cerveau sera constamment sollicité et ne pourra jamais atteindre l’état de concentration profonde nécessaire au deep work 🚫.
5. La procrastination active
La procrastination, on la connaît tou.te.s. Mais il existe une forme plus sournoise : la « procrastination active ». C’est quand tu te convaincs que tu es productif.ve alors qu’en réalité, tu évites juste la tâche difficile qui nécessiterait du deep work 🕵️♀️.
Par exemple, tu pourrais passer des heures à « optimiser » ton espace de travail, à réorganiser ton Notion, ou à rechercher le meilleur outil pour gérer tes projets… alors que tu devrais plutôt travailler sur ce projet client qui nécessite toute ton attention.
Pour éviter ce piège, pose-toi régulièrement cette question : « Est-ce que ce que je fais en ce moment me rapproche de mes objectifs principaux ? » Si la réponse est non, tu es probablement en train de procrastiner activement 🤔.
6. Ignorer ses cycles d’énergie personnels
Nous ne sommes pas des machines. Notre niveau d’énergie et de concentration fluctue naturellement au cours de la journée. Certaines personnes sont plus productives le matin, d’autres en fin de journée 🌙.
L’erreur est de planifier tes sessions de deep work sans tenir compte de ton chronotype personnel. Si tu programmes une session intense à 14h alors que c’est ton moment de creux d’énergie, tu lutteras pour rester concentré.e et tu n’obtiendras pas les résultats escomptés.
Il faut aussi être réaliste : on estime qu’il n’est possible d’être 100% focus que pendant 3 ou 4 heures par jour. Ces quelques heures vident littéralement tes batteries. Mais elles te permettent de réaliser une montagne de travail en y mettant le meilleur de toi-même. Planifier plus que ça, c’est prendre le risque de ne pas y parvenir.
Observe ton niveau d’énergie pendant quelques jours et identifie tes pics naturels. C’est pendant ces périodes que tu devrais planifier tes sessions de deep work pour maximiser ton efficacité 🙌🏻.
Comment intégrer le deep work dans ton planning ?
🗓 Passons à la pratique ! Aujourd’hui, j’en profite pour te dire que ta capacité à être focus dépend surtout d’une démarche volontaire. Voire d’auto-discipline très disciplinée 😂.
Se mettre en mode deep work, ce n’est pas uniquement couper ton téléphone et fermer ta boîte email. Bien sûr, c’est nécessaire pour ne pas être dérangé.e toutes les 5 minutes. Mais il s’agit surtout de te mettre toi-même en condition de travail intense. C’est donc surtout un effort mental pour calmer ton cerveau et le canaliser sur une seule chose.
Depuis longtemps, Julie et moi raisonnons en blocs de temps dans notre agenda. Chaque bloc est destiné à la réalisation d’une tâche ou d’un groupe de tâches liées. Le concept est simple : on compartimente notre to-do list en rassemblant les tâches similaires sur une même période.
📍 Par exemple : par client, par thème, par importance, etc. Jusqu’à aujourd’hui, cette organisation par bloc fonctionne pour nous et nous permet d’être efficaces. Mais comme tu l’as vu, les blocs de temps Deep work ont fait leur apparition sur nos plannings. Concrètement, il s’agit de se planifier un gros bloc de 3 ou 4 heures pendant lequel on restera 100% focus sur une seule chose. Et pour se laisser un peu de flexibilité, on choisit la tâche à effectuer selon la motivation, l’énergie et le mood du moment 👌🏻
➡️ Entrer dans un état profond de concentration n’arrive pas toujours sur commande. C’est pourquoi tu peux prévoir tes blocs de temps à l’avance, mais pas forcément les sujets précis sur lesquels tu travailleras. Planifier des tâches précises à réaliser dans ta journée peut avoir un côté décourageant. Si tu as le temps de tout faire, c’est une fierté. Si tu as mal estimé ton temps de travail ou ta capacité de concentration, tu seras frustré.e. Planifier des sessions low et deep work t’offrira donc plus de flexibilité. Bien sûr, il faut être au clair sur tes deadlines, certaines tâches devant être réalisées à un moment bien précis ⏳
Le reste de la journée n’est pas improductif pour autant après tes sessions de deep work. Mais tu peux plus facilement te permettre de laisser la place aux imprévus et aux distractions 👋🏻
Sache qu’il y a aussi différentes façons de tester le mode deep work dans ton agenda :
✔️ Sortir complètement de ton quotidien pour une courte période (ou philosophie monastique).
Ici, il s’agit carrément de partir t’enfermer quelque part, loin de tes habitudes, pour avancer sur un projet de grande envergure. Oui, un peu comme un.e écrivain.e qui loue une cabane au fond des bois pour écrire son prochain roman 😅. C’est quelque chose que l’on expérimente de temps en temps avec Julie, seules dans notre coin ou ensemble 🤓. Et ça nous permet de nous consacrer entièrement à un gros projet et d’avancer beaucoup plus vite qu’en temps normal !
✔️ Planifier un long bloc de plusieurs heures (ou philosophie bimodale).
C’est le cas que l’on a déjà vu : un bloc de 4 à 6 heures pour être 100% focus sur une grosse tâche. C’est un moment où tu dois te mettre dans de bonnes conditions de concentration. Ça veut dire : t’isoler du reste du monde et mettre une playlist dans tes oreilles (tu du choix spécial concentration sur Youtube ou Spotify en termes de playlists d’ailleurs 🎧). Autour de ce bloc de temps, tu peux articuler d’autres petites tâches rapides ou très simples à effectuer (low work).
✔️ Planifier des blocs de temps plus courts mais réguliers tout au long de la semaine.
C’est aussi ce qu’on appelle la philosophie rythmique. Une technique similaire à Pomodoro : des sessions plus ou moins longues (à partir de 30 minutes) entrecoupées de mini-pauses pour t’aérer l’esprit. Cette méthodologie est très répandue pour arriver au bout d’une to-do list. En revanche, je ne suis pas certaine qu’elle colle parfaitement au modèle Deep Work. Être profondément focus demande un peu plus de temps ⏱
Outils et ressources pour faciliter le deep work
Pour mettre en place une pratique efficace du deep work, quelques outils et ressources peuvent considérablement t’aider à créer l’environnement idéal. Et bonne nouvelle, la plupart sont gratuits ou très abordables 🤘🏻
Applications de blocage des distractions
Ton téléphone et ton ordinateur sont des nids à distractions. Pour y remédier :
- Freedom : cette app te permet de bloquer les sites web et applications distrayants pendant une durée définie. Impossible de tricher, même en redémarrant ton ordi 🚫
- Forest : une app sympa qui plante un arbre virtuel pendant que tu travailles. Si tu quittes l’app pour aller sur Instagram, ton arbre meurt 🌱
- Focus@Will : un service de streaming musical spécialement conçu pour améliorer ta concentration avec des playlists scientifiquement élaborées 🎵
Outils de planification et de suivi
Pour intégrer efficacement le deep work dans ton quotidien :
- Notion (notre chouchou avec Julie) : parfait pour organiser tes tâches par catégorie et planifier tes sessions de deep work 📊
- Toggl : un outil de suivi du temps qui te permet de mesurer tes sessions et d’analyser ta productivité réelle ⏱️
- RescueTime : te donne des insights sur comment tu utilises réellement ton temps sur ordinateur 📈
Ressources d’apprentissage
Pour approfondir ta compréhension du deep work :
- Le livre « Deep Work » de Cal Newport : la bible sur le sujet, à lire absolument si tu veux comprendre tous les fondements de cette méthode 📚
- The Focused Podcast : un podcast qui explore différentes techniques de concentration et de productivité 🎧
- Notre blog, bien sûr ! On partage régulièrement nos expériences et nos conseils sur la productivité et l’organisation du travail en freelance 😉
Environnement physique
Ne néglige pas ton environnement physique, il joue un rôle crucial :
- Casque antibruit : un investissement qui change la vie quand on travaille dans un espace bruyant 🎧
- Un espace dédié au travail profond : si possible, aménage un coin chez toi qui soit associé uniquement au deep work 🏠 (bureau VS canapé notamment)
- Une signalisation « Ne pas déranger » : simple mais efficace, surtout si tu vis ou travailles avec d’autres personnes 🚪
Ces outils ne sont pas magiques en eux-mêmes, mais ils créent les conditions propices pour que ta pratique du deep work soit la plus efficace possible. À toi de tester et de voir ce qui fonctionne le mieux pour toi !
Et si tu intégrais le deep work dans ton quotidien d’entrepreneur ?
Bon, on ne va pas se mentir, dans ce monde d’ultra-connexion où la guerre de l’attention est + forte que jamais, devenir un ninja du deep work n’est ni évident ni un réflexe 🥷
À partir de nos expérimentations, Julie & moi sommes toutes les 2 d’accord : ce mode de travail est un VRAI game-changer !
On l’a dit, c’est pas juste une question de quantité de boulot abattu, c’est aussi le meilleur moyen de créer de la valeur, de produire du travail d’impact et – accessoirement – de s’offrir une sensation de satisfaction profonde et de fierté à la fin de chaque journée (cercle vertueux par excellence).
🚀 Si tu te sens prêt(e) ou que tu as déjà commencé à intégrer le deep work dans ton quotidien et ton planning d’entrepreneur(e) alors partage-nous ton expérience en commentaire !
Deep work, ce qu’il faut retenir de ce guide
🔎 C’est quoi le Deep Work concrètement ?
Le Deep Work correspond à un état de concentration extrême dédié à une ou plusieurs tâches complexes qui requièrent toutes tes compétences. C’est une démarche volontaire pendant laquelle tu es ultra-focus sur ton travail et complètement coupé du reste du monde.
🎈 Comment exploiter le Deep Work dans son quotidien de freelance ?
Tu peux aborder le Deep Work de plusieurs façons : en te coupant complètement de ton quotidien sur une période plus ou moins longue, en planifiant des gros blocs de temps d’une demi-journée, ou en prévoyant de plus petits créneaux focus issus de la technique Pomodoro.
🧠 Comment se concentrer profondément sur son travail ?
Pour exploiter pleinement l’état de concentration du Deep Work, clarifie bien ta liste de tâches selon leur niveau de difficulté et de priorité. Évite absolument de faire du multi-tâches et raisonne plutôt par groupes de tâches similaires. Éloigne aussi toutes les distractions extérieures.
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